Ils se sont d’abord serré la main, avant de s’affronter quelques instants plus tard. Comme dans un match de foot. Sauf que la cour de promenade d’une prison tient plus de l’arène que du stade. Ici pas d’arbitre, ni de filet. « Une poudrière où la moindre étincelle suffit à mettre le feu » ,...