Depuis le début de la guerre, le 13 juin, les autorités iraniennes multiplient les arrestations sous le motif de “propagande contre la République islamique” et d’“espionnage au profit d’Israël”, alors que la paranoïa s’est emparée du régime, mis à nu par les attentats ciblés de hauts responsables. Les médias iraniens en exil craignent l’instauration d’un climat de vengeance et de terreur.