Deux grains sinon rien
Peu à raconter sur cette sortie solo. La veille, j’ai récupéré la remplaçante de mon annexe Dufour. La nouvelle est presque neuve, héritage de la collection de coques de cousin Thierry 😢. La voilà, érigée comme un menhir, qui veille sur l’Iboga, depuis le rack à annexes. La soirée avec les amis pinasseyres de la […]
Peu à raconter sur cette sortie solo.
La veille, j’ai récupéré la remplaçante de mon annexe Dufour. La nouvelle est presque neuve, héritage de la collection de coques de cousin Thierry 
. La voilà, érigée comme un menhir, qui veille sur l’Iboga, depuis le rack à annexes.
La soirée avec les amis pinasseyres de la team Bleu de Mer, pour une AG de début de saison, chez Marie au Ferret. Nuit sur place.
Le matin, arrivée au bateau qui ne flotte pas encore en attendant, tout armé, que le flot le supporte. Il est passé midi. Un vent de nord, dans les 9-10 nds. Un ciel chargé avec des éclaircies passagères.
Il n’y a pas grand monde sur l’eau. Ah, si, devant Arcachon, une flotte de croiseurs en régate. Je traverse la flotte, croise quelques copains 680. Me présente devant le Courant. Mais voilà le premier grain qui me rattrape. Je suis mal engagé pour tirer des bords dans le Courant avec peu d’eau. L’Iboga renâcle (la trace montre mon hésitation) Puis une fois bien cappellé dans ma veste de quart, ayant repris de l’eau au vent, j’embouque l’étroit chenal. Quelques bords plus haut, c’est le chenal de l’île, encore face au vent.
Puis la descente au portant le long du Piquey.
Vers 16:00 je raccroche au mouillage.
Désarmement.
Fin de l’après midi à fond de cabine avec ma lecture du moment : « Solitaire et Compagnie » de notre maître à tous, Antoine. Le temps que la mer se retire à nouveau sous le bateau et que je puisse retourner à la plage à pieds secs.