L’exécutif se dit «ouvert»… à ses seules mesures
Depuis que 2 millions de personnes ont défilé contre la réforme des retraites, la Macronie s’essaie à un nouvel élément de langage. «Je souhaite que le gouvernement avec les parlementaires puissent travailler le texte et l’aménager», a ainsi lâché le chef de l’État en marge des célébrations du traité de l’Élysée, le 22 janvier. La veille, son ministre des Comptes publics, Gabriel Attal, tentait le même exercice : «Je respecte le débat parlementaire à venir.