L’association Halte à l’obsolescence programmée a mis en garde ce mercredi 17 avril sur le risque de voir l’industrie automobile basculer vers la production de véhicules « jetables ». Entre autres causes, la faible réparabilité de la batterie, qui constitue 40 % de la valeur des voitures électriques.
Un jugement a confirmé que l’établissement scolaire de Londres mis en cause par une élève musulmane pouvait interdire la prière en son sein. Une décision qui a suscité un fort écho et provoque un certain soulagement dans les écoles d’Angleterre, confirmant qu’il n’existe pas d’obligation légale.
Plus de 500 hectares de forêt ont été ravagés dans l’est de l’Espagne dimanche 14 avril. En cause, des températures anormalement élevées. Un épisode qui inquiète par son intensité.
Dans la deuxième ville de Guyane, les axes de circulation ont été bloqués le 16 avril par des manifestants qui exigent plus de moyens dans la lutte contre l’insécurité et la prévention de la délinquance. Le mouvement social qui fait suite au meurtre d’une pharmacienne, le 8 avril, n’est pas sans rappeler les mobilisations de 2017.
En Inde, alors que s’ouvre la campagne électorale, le succès de Modi témoigne de ce penchant des nationalismes à instrumentaliser la religion pour conforter leur pouvoir. Une tendance affirmée au XXIe siècle, dont les minorités religieuses, de par le monde, font dramatiquement les frais.
Depuis l’attaque menée par l’Iran sur Israël, les incidents se multiplient entre l’armée israélienne et la milice libanaise du Hezbollah de part et d’autre de la frontière entre les deux pays.
Mercredi 17 avril, le squat de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), qui abritait jusqu’à 450 personnes migrantes en région parisienne, a été évacué. La plupart des personnes ont été réorientées, principalement en province, pour une durée indéterminée.
Après le suicide d’Evaëlle en 2019, deux adolescents ont été renvoyés mercredi 17 avril devant un juge pour enfants pour harcèlement scolaire. Alors que la loi prévoit une présomption de non-discernement pour tout mineur de moins de 13 ans, la juge d’instruction a estimé que les deux garçons, âgés de 11 ans à l’époque, étaient pénalement responsables.