En dépit des risques et de l’entrée en vigueur de l’accord du 18 mars, de nombreux réfugiés, essentiellement syriens, tentent encore chaque jour la traversée depuis la Turquie jusqu’aux îles grecques avoisinantes, dans l’espoir d’obtenir une réponse favorable à une demande d’asile politique sur le territoire grec.
Reportage à Izmir.