Dominique Mansaré, candidat de la droite et du centre (Clermont 1) : "Impliquer les habitants"
Dominique Mansaré est le candidat choisi par "la droite et le centre" pour l'élection départementale partielle dans le canton de Clermont 1, les 7 et 14 avril, avec Luc Moron pour remplaçant.
Ancien sportif de haut niveau en boxe anglaise (vice-chamion de France présélectionné aux JO d’Atlanta en 1996), acteur associatif dans le secteur du handicap, le Clermontois Dominique Mansaré monte pour la première fois sur le ring politique en se présentant à l’élection départementale partielle dans le canton Clermont 1.Sans appartenance politique, le candidat choisi par "la droite et du centre", qui est responsable dans une entreprise de nettoyage industriel, veut "apporter mon regard neuf, une autre façon de faire les choses, être proche des gens et les impliquer dans l’amélioration de leur quotidien"."L'associatif, le sport, l'entraide pour ADN"Né à Clermont-Ferrand dans une famille nombreuse d’un père guinéen, le candidat de 53 ans met en avant "des valeurs d’engagement, de sens de l’effort, de droiture, que je m’applique à transmettre aux jeunes ; l’associatif, le sport, l’entraide, c’est mon ADN".
Dominique Mansaré estime que « ce canton souffre d’une mauvaise image, qui n’est pas justifiée, et que je souhaite faire évoluer, car je considère qu’il a été laissé à l’abandon depuis de nombreuses années ».
"Etre dans la majorité départementale donne du poids"Mettant en avant "le fait que je ferai partie de la majorité départementale et, à ce titre, ma parole aura du poids", le candidat veut se mobiliser particulièrement "pour faire reculer l’insécurité, faire vraiment vivre la Maison des solidarités, veiller à la mobilité pour tous, notamment les personnes âgées".
Pour les collèges, autre compétence du Département, Dominique Mansaré souligne « l’action déjà concrète et à poursuivre, avec le plan Marshall qui a été lancé par cette majorité".
Son remplaçant est le Clermontois Luc Moron, 30 ans, ancien gendarme adjoint volontaire en Psig, enseignant à la faculté de droit de Clermont.
Laurence Coupérier