Prix Polaris, pipeline et vaccination: le Défi de l’info du 1er octobre
Venez tester vos connaissances de l’actualité en 10 questions.
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Pfizer a terminé ses études cliniques et a présenté ses données brutes aux autorités américaines.
Le colonel Doumbouya s’est de nouveau engagé au respect des «engagements nationaux et internationaux» du pays.
C’est le temps entre les soupçons et le diagnostic qui pose problème, malgré un très bon système de dépistage.
Il a refusé d’indiquer desquels il s’agit, précisant qu’il devait être prudent.
Investissement Québec dévoile un nouvel indicateur destiné à mesurer la représentation féminine dans le milieu.
Libéraux et solidaires l’invitent s’élever au-dessus de la mêlée et à reconnaître l’existence du racisme systémique.
On rapporte aussi 6 décès supplémentaires et 7 patients de moins aux soins intensifs.
L’estimation initiale de Statistique Canada prévoyait une contraction de 0,4%.
Le molnupiravir réduirait de moitié les risques d’hospitalisation ou de décès dus à la maladie.
Un autre 19 millions de dollars servira à financer des « projets significatifs » pour la communauté.
Géhane Kamel conclut que «le racisme et les préjugés» ont contribué à la mort de la femme atikamekw.
Heureux alignement des astres pour le premier concert de l’Orchestre Métropolitain.
L’acteur et producteur propose un «remake» d’un huis clos à succès danois.
L’APNQL estime que le projet de loi pose des barrières systémiques aux écoliers autochtones.
Les milieux d’affaires veulent faire partie des efforts de réconciliation avec les Premières Nations.
Smaro Tzanetoulakos a subi quatre ans de vermine, d’intimidation et de harcèlement.
Pékin a souvent exprimé le souhait de réduire sa dépendance aux exportations de biens et aux investissements étrangers.
Le quintette rock montréalais présente son deuxième disque, qui prend la chanson québécoise des années 1970 pour repère.
Il n’a pas cru bon demander d’avis indépendant ni de les offrir à d’autres musées ou à des communautés autochtones.
Une boîte à outils remplie de ciseaux à bois, un maillet et un crayon à mine. C’est tout ce qu’il faut aux frères Dedar et Ajmal Khan pour réaliser de véritables chefs-d’oeuvre ornant les portes en bois de maisons cossues du Pakistan et d’ailleurs dans le monde. « On n’utilise aucune machine, aucun pochoir », explique fièrement leur aîné, Bakhtyar Khan, qui dirige l’entreprise familiale sise dans le quartier Sadat Colony à Islamabad. Quelques mètres plus loin, leur oncle Agmal Khan, arrivé d’Afghanistan... Читать дальше...
Une brasserie française qui réunit talent, qualité et bienveillance.